Rencontre avec Christophe, chauffeur-livreur chez BKS Belgique

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Rencontre avec Christophe, chauffeur-livreur chez BKS Belgique

Avec quatre sites de production dans le monde, BKS est votre producteur de lames pour diverses industries comme le plastique, le recyclage, l’acier, l’emballage et bien plus encore !
Nous avons créé BKS en 1983 et avons depuis lors continuellement investi dans notre personnel et dans une technologie de pointe.
Nous sommes fiers de posséder les logiciels et les équipements de production les plus avancés et sommes prêts à vous aider à relever tous vos défis en matière de découpe et de tranchage.
Avec cette série d’interviews, nous vous invitons à rencontrer les personnes qui se trouvent derrière notre entreprise de fabrication de lames. Ils jouent tous un rôle clé dans le caractère unique de notre entreprise.

Bonjour Christophe ! Tu es chauffeur-livreur chez BKS Belgique depuis bientôt 10 ans. Peux-tu nous en dire plus ?

Bonjour ! Je suis chauffeur-livreur chez BKS. Je suis en charge de la livraison et de l’enlèvement des couteaux industriels chez nos clients.

Mes journées démarrent à 6h et commencent par le chargement des couteaux demandés par Nadine, Viviane et Natacha, nos représentantes commerciales internes, et préparés et vérifiés par Cindelle, notre magasinier. Je pars ensuite en tournée à travers la Belgique, le Luxembourg, l’Allemagne, les Pays-Bas et la France. Je livre et collecte le matériel chez nos clients toute la journée. Ce sont souvent les mêmes clients de semaines en semaines. Nous avons des très bonnes relations, puisque nous nous connaissons maintenant depuis longtemps. Nous avons l’habitude de travailler ensemble et nous savons très bien communiquer depuis tout ce temps, donc nous travaillons très rapidement.

Quelles sont les compétences nécessaires pour effectuer ton travail ?

Je fais très attention à sécuriser les colis : je ne veux pas entendre mes chargements bouger ! Il faut savoir que je dois parfois déplacer des pièces pesant plus de 700 kg ! Je dois donc faire très attention lorsque je fixe les cartons dans la camionnette.

Je dois aussi être tout le temps concentré puisque mon lieu de travail, ce sont les routes : je roule environ 10.000 km chaque mois.

Les langues sont aussi un plus lorsque l’on traverse autant les frontières. Je parle donc le français, le néerlandais et l’anglais, et j’ai aussi les bases d’allemand nécessaires à ma fonction.

Pour terminer, il faut aussi être autonome et résister au stress, car dans certaines grandes entreprises, lorsque je dois livrer ou collecter du matériel, personne ne sait vraiment où je dois aller… L’entrepôt ? A l’atelier ? Volet 13 ? Porte 45 ? Certaines entreprises sont de véritables labyrinthes !

Et que préfères-tu dans ton travail ?

Je passe beaucoup de temps seul, mais j’aime le fait d’être indépendant. J’ai trouvé une certaine routine que je n’aurai peut-être pas autant aimé lorsque j’étais plus jeune. Ces longues heures seul m’offre le temps d’écouter ma musique ou des podcasts pendant que je roule vers ma prochaine destination.

Et puis il y a les petites anecdotes du quotidien. Par exemple, lors d’une de mes livraisons, je suis arrivé au poste de garde d’une entreprise où l’on m’a demandé ce que je livrais. Lorsque j’ai répondu « des couteaux industriels », on m’a redirigé vers la cuisine de l’entreprise ! Ceci dit, je dois avouer que lorsque j’ai postulé pour cet emploi, j’imaginais aussi travailler avec des couteaux de cuisines ! (rires)

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